Identité ... ϟ Date de naissance : 12 juillet 1970 ϟ Sang : Sang mêlée ϟ Ancienne maison : Poufsouffle ϟ Particularité : Cicatrice de sa morsure ϟ Patronus : Renard Russe ϟ Epouventard : Le lycan qui m'a mordu ϟ Baguette magique : bois de sapin, crin de licorne, 26 cm ϟ Animal de compagnie : Un chat tigré nommé Lune ϟ Capacité : Semi Lycan ϟ Acteur sur avatar :Emilia Clarke ϟ Ilena Petrinova ϟ Code du règlement Ok by Polynectar ϟ Est-ce un Scénari ? : Non

Caractère

Sa gentillesse et sa douceur sont deux choses que les gens repèrent rapidement chez la jeune fille. Mais elle n’est pas aussi attentive aux autres qu’on pourrait le croire car elle est assez solitaire. Loin d’être timide, elle préfère la solitude. Cela ne la dérange cependant pas tellement. Elle a des amis mais elle ne reste pas tellement avec eux. Beaucoup de personne se demandent pourquoi, tout simplement parce que la jeune fille a la phobie de la foule et donc pour éviter des crises d’angoisse, elle reste seule. Mais ça, très peu de personnes le savent. Elle ne le dit que très peu. Mais depuis qu'elle s'est fait mordre, cela s'est énormément atténuée lui permettant d'avoir une vie à peu près normale. Mais il ne faut pas se leurrer, elle n'ira jamais dans une foule massive.
Elle est assez secrète et mystérieuse, peu de gens la connaissent réellement. La jeune russe est néanmoins déterminée et têtue, quand elle a quelque chose à faire, elle n’aime pas que quelqu’un essaye de l’en empêcher.
Au premier abord elle peut paraître froide mais une fois qu’on la connait, on s’aperçoit qu’elle est chaleureuse et souriante. Elle est maligne et intelligente, elle sait donc se servir de sa tête au bon moment. Il faut beaucoup pour la mener en bateau et elle est assez méfiante avec les gens qui lui paraissent bizarre.
Question études, elle n’est pas une très bonne élève et possède pas mal de difficulté cependant elle travaille donc on ne peut pas lui reprocher un manque de travail pour ses notes. Néanmoins elle a des matières fétiches où elle arrive à avoir des bonnes notes.
Elle n’est pas forcément courageuse, l’adjectif peureuse lui conviendrait surement un peu mieux. Mais elle n’est pas lâche, même sous l’emprise de la peur, elle ne va pas prendre ses jambes à son cou.

Histoire

Je suis née à St Petersburg en Russie le douze juillet 1970 d’une mère moldu Russe qui était infirmière. Mon père était un sorcier du ministère anglais qui était passé en Russie pour un voyage d’affaire. Mais la vodka russe a eu raison de lui et il a succombé au charme de ma mère. Ils ne se connaissaient pas, et en tout cas aucun des deux ne s’est revu. Mais ma mère a refusé d’avorter et donc je suis née.
J’étais le rayon de soleil de ma mère, son petit trésor. Nous vivions toutes les deux dans un petit appartement de St Petersburg. Mais ma mère tomba gravement malade. Un soir elle me confia à mes grands-parents mais elle ne vint jamais me chercher. La maladie l’avait ravagée en une nuit et elle était morte à l’hôpital.
Mes grands-parents n’avaient pas les moyens de me garder chez eux et ils voulaient que j’aie une vie heureuse dans une bonne famille. On me plaça dans un orphelinat de St Petersburg. Mais l’établissement était pauvre et il dû fermer ses portes. Tous les enfants devaient être adoptés d’urgence. Pour moi, ce fut un jeune couple anglais qui m’adopta. Quand je suis arrivée à Londres, l’univers était loin d’être le même qu'en Russie. J’avais vécu pauvrement les quatre premières années de ma vie, et je suis arrivée dans un monde riche et ne parlant pas ma langue. Je fus complètement dépaysée mais le couple était gentil. Ils n’étaient pas comme moi, c’était des sorciers, du moins c'est ce que je croyais. Alors pour que je puisse les comprendre ils utilisaient la magie. J’appris l’anglais rapidement mais je gardais un fort accent russe.
A six ans, ils me mirent dans une école moldue. Je développais la phobie de la foule. Je faisais régulièrement des crises d’angoisse. Mes parents adoptifs essayèrent de me soigner, mais aucun traitement ne fut efficace.
Ça neuf ans, je découvris mes pouvoirs de sorcière. J’étais en entraînement de gymnastique lorsque que je me fis un claquage qui aurait dû me marquer toute ma vie, au lieu de cela ma magie se réveilla et cicatrisa le plus gros de ma blessure. Le médecin fut surpris d’une guérison si rapide mais mes parents eux se doutèrent de quelque chose. Mais ils ne dirent rien.
Un jour, je reçus une lettre écrite complètement en russe. Alors que j’aurai du ne plus me rappeler de ma langue natale, je me suis aperçue que je comprenais très bien ce qu’il y avait d’écrit. Je l’ai lu entièrement. Mes grands-parents maternels avaient eu mon adresse et ils souhaitaient avoir de mes nouvelles et si possible me revoir. Mes parents acceptèrent. Je répondis à la lettre en anglais car je ne savais pas écrire le russe.
Pendant les vacances d’été, je retournais en Russie dans mon pays natal. Je me sentais chez moi. Mes grands-parents furent ravi de me revoir et moi aussi. J’ai passé une semaine avec eux. Avant de repartir en Angleterre, ils me donnèrent des souvenirs qu’ils avaient de ma mère et de moi quand j’étais petite. Je suis donc reparti en Angleterre, le cœur serré. Je retourne en Russie chaque été pour les voir.

A onze ans, je reçus ma lettre pour Poudlard. Je fus surprise car mes pouvoirs ne s’était jamais manifesté de façon concrète et visible. Mes parents étaient aux anges. Poudlard fut une seconde maison dès que je me suis installée. Je me sentais comme en Russie. Chez moi, d’une façon différente mais chez moi. Je fus envoyée à Poufsouffle. Lorsque les cours commencèrent je ne m'attendais pas du tout à ce genre matière. Je pensais qu'on allait voir beaucoup plus de théorie que de pratique. Mais cela n'influença pas plus mes notes pour autant car j’eus rapidement des difficultés à me maintenir à la moyenne. Est-ce que le fait que j'ai été élevé comme une moldu car mes parents ignoraient que j'étais une sorcière et donc que je n'ai pas beaucoup baigné dans cet univers ou bien j'avais de réelle difficulté ? Je me suis rapidement aperçu que là j'avais de réelles difficultés car les né-moldus arrivaient à avoir de bonnes notes.
Le problème de Poudlard c'est le nombre que nous sommes dans les couloirs. Alors pour moi qui ait la phobie de la foule, ce ne fut pas une mince affaire de me frayer des chemins pour arriver à l'heure en cours sans faire de crise d'angoisse. Ma première année fut un calvaire pour cela. Mais vers le mois d'avril, je suis allée à l'infirmerie pour demander à l'infirmière une solution. Je faisais crise d'angoisse sur crise d'angoisse. Elle ne vit qu'une solution : traverser les couloirs après tout le monde ou avant tout le monde. Elle me fit un mot à donner à tous mes professeurs. Forcément certains n'apprécièrent pas de me voir arriver 10 minutes après les autres ou partir 5 minutes avant. Mais je pouvais circuler dans les couloirs sans problème.

L'année des BUSEs fut une année de stress, je devais absolument obtenir des notes correctes voir excellentes dans les matières qui étaient indispensables pour mes études. J'ai travaillé comme une folle pour réussir, et heureusement mes efforts acharnés payèrent. Je continuais les matières où j'avais réussi mes BUSEs, c'est-à-dire : Histoire de la magie, Runes Anciennes, Études des Moldus et Sortilèges.

L'année des ASPICs fut la même que celle de BUSEs, je bossais d'arrache pieds et je réussis.

A ma sortie de Poudlard, je décidais de me lancer dans l'enseignement de l'Histoire de la magie. J'ai suivi les études qu'il fallait. L'année de mes dix-neuf ans, je fis une mauvaise rencontre. En rentrant chez moi, je découvris un corps devant ma porte, il avait l'air mal en point. J'ai fait l'erreur de l'aider. Alors que j'étais en train de le soigner de façon moldue, celui-ci me mordit au bras avant de s'enfuir. Cela me faisait horriblement mal. Je suis allée à St Mangouste, incapable de me soigner seule. Je fus prise en charge assez rapidement, et les médicomages me signalèrent que j'avais eu de la chance. Je leur demandai pourquoi et ils me répondirent que c'était un lycan qui m'avait mordu mais que comme ce n'était pas la pleine lune, je ne serais pas un lycan à part entière mais un semi-lycan. J'étais à la fois effondrée et furieuse contre moi-même. Ma trop grande bonté m'avait coûté une malédiction jusqu'à la fin de ma vie.

Cependant la vie continua, comme m'avaient prévenu les médicomages, je tombais malade à chaque pleine lune sans pour autant me transformer.

Je finis mes études et je postulais pour le poste de professeur d'Histoire de la magie.