Identité ... ϟ Date de naissance : 15 Janvier 1980 ϟ Sang : Mêlé ϟ Ancienne maison : // ϟ Particularité : Aucune ϟ Patronus : Kangourou ϟ Epouventard : Un monde sans couleur ϟ Baguette magique : Bois de saule pleureur, crin de licorne, 23 cm ϟ Animal de compagnie :Une chouette brune du non de Sekhmet et un petit chat brun prénommé Râ ϟ Acteur sur avatar :Juno Temple ϟ April E. Lawford ϟ Code du règlement Ok By Sev ϟ Est-ce un Scénari ? : Non

Caractère

Qualités :

April à un grand sens de l’humour. Enfin, pour elle s’est bien drôle et probablement pour les personnes qui l’entourent. Elle est drôle pour les autres sans pour autant mettre en victime un autre élève sans défense. Elle retrouve son bonheur dans le rire des autres et s’arrange pour que ça fonctionne. La jeune fille est toujours entrain de penser à une nouvelle blague qu’elle pourrait faire. À qui et comment. Quand et où. Bref, les questions existentielles. Cependant, en cours elle est capable de ralentir la machine et de porter une attention à ce qui se passe sans pour autant être la sérieuse de service qui sait tout. Elle est tout de même un peu brillante. Du moins, elle est capable de maintenir de bonnes notes pour sa fierté. April est une personne sociable qui aime bien être toujours entourée d’amis et de pouvoir compter sur eux. Elle s’attache à des personnes en particuliers et se donne le devoir de les garder heureuses. Si quelqu’un avait la mauvaise idée de s’en prendre à eux, April n’hésiterai pas à les défendre, même si elle doit devenir agressive. La jeune fille adore rire et est toujours prête à aller se mettre dans on ne sait quel pétrin. Même si la plupart du temps elle ne le fait pas exprès. April à des « passes » folles. Il lui arrive parfois de faire à peu près n’importe quoi sans raisons apparentes. Ça fait juste lui passer comme ça.

Défauts :

Même si rire est un de ses passe-temps, April est quelqu’un d’égoïste. Elle fera tout ce qu’elle peut pour que sa personne s’en sorte à coup sûr peu importe ce que les autres adviendront. Chacun pour soit comme elle aime dire. Elle n’agît que très rarement si les raisons d’agir ne font pas parti de ses intérêts personnels. On peu aussi rajouter que la jeune fille est narcissique. C’est elle la plus belle point. Elle en rigole parfois, mais peut se montrer très sérieuse quand il s’agit de se complimenter. C’est fou comme c’est facile de s’auto-complimenter et comment ça devient compliquer d’en faire de même avec les autres. April est immature et semble bien partie pour rester une enfant dans son cœur… et sa tête. Elle n’a pas vraiment le sens des responsabilités et de trop grandes tendances à tout tourner autour de la blague. C’est rare qu’elle va se sentir coupable pour quoique ce soit. La jeune fille est impulsive et ne réfléchit pratiquement jamais à ce qu’il pourrait si elle faisait tel ou tel geste. Pour en rajouter un petit peu, April est une gaffeuse se première classe. C’est très rare qu’elle ne fait pas une gaffe. Les plus fréquentes sont renverser son jus de citrouille sur la table, s’accrocher dans ses pieds et tomber ou encore manquer une marche. En cours, bien qu’elle montre certains talents, il lui arrive de manquer un sort qu’elle fait depuis des années comme ça. Peut-être juste le manque de concentration. Ayant une peut bleue de l’eau, la blonde n’est pas pour vous réussir un sortilège avec un rapport sur l’eau. Elle maitrise parfaitement les sorts de feu, mais ne s’en sert pas toujours comme il le faudrait. Par contre, il faut bien avouer que brûler accidentellement un bas de robe ou un livre sur la table peut s’avérer très drôle.

Histoire

Intro :

J’ai toujours rêvée de vivre dans une famille unie et heureuse. Comme on les voit dans les films. Vous savez, tous assis autour d’une table le jour de noël, à parler et à rire avec en arrière plan un magnifique sapin de noël entièrement décoré et pas très loin le foyer dans lequel un joli feu réconfortant brille. Ce sont de belles images réconfortantes, tout le contraire de ce que je vis. Je ne suis pas orpheline ni prise avec des parents stricts. Je dois dire que j’ai beaucoup de liberté, peut-être trop. J’ai toujours vécu avec mon frère jumeau. Un idiot de première, mais bien sympathique. Ma petite sœur aussi je l’aime bien. Les parents? On s’en reparle plus tard…

Commencement : Où Comment être une famille modèle

Avant que je naisse, il y a eu la rencontre de mes parents. Pas très original ni conte de fée, mais ça reste leur histoire. Ma mère, une anglaise aux origines irlandaise-française, sorcière de sang-mêlé travaillait dans le petit magasin familial sur le chemin de traverse quand mon père, anglais pure souche, sorcier sang-mêlé également et travailleur au ministère dans le département des jeux et des sports magiques est entré dans la boutique. Coup de foudre? Non. Ce qui s’est passé c’est une rencontre normale de deux inconnus. Un petit bonjour poli, on achète ce que l’on a besoin et on repart. Le véritable déclic s’est produit quelques semaines après. Chez Fleury & Bott. Ils s’étaient revus plusieurs fois depuis, mais leur relation à bien commencer là. Comme quoi le destin. Ils sont devenus amis puis un couple et ensuite des mariés. Un an après le mariage voient le jour deux enfants. Une magnifique jeune fille qui ressemble à sa mère et un petit garçon, et croyez-moi, ils ne devaient pas savoir qu’il allait devenir un idiot de première à toujours agacer son ange de jumelle et la rendre pour un démon. Passons. Ils eurent une autre petite fille deux ans plus tard, ma petite sœur. Pour vous dire, on était une famille heureuse, ma mère et mon père étaient tout les deux attentionnés, moi et mon frère on se chamaillait tout le temps et on aimait bien agacer le bébé. Famille typique quoi.


Un : L’Eau et ses caprices

Je me souviens, un jour ma mère nous avait amené moi et mon frère à un lac pour s’y baigner. Dans ce temps, l’eau ne me terrifiait pas. J’étais incapable de nager alors on s’amusait à lancer des objets dans le lac pour que ma tendre maman puisse les remonter à la surface. Elle faisait semblant d’être mécontente et de nous gronder, ce qui nous faisait rire sur la berge. J’avais je pense cinq ans et je tenais ma petite sœur pour ne pas qu’elle tombe. Papa était parti travailler pour je ne sais quelle raison, et puis à un moment donner, maman n’était plus remonté. Croyant qu’elle voulait nous faire une blague, mon frère et moi ne nous sommes pas attardés sur ce détail. C’est après environ six minutes que le petit déclic c’est fait dans notre tête. On a remué l’eau pendant quelques secondes avant de s’apercevoir que ça n’arrangerait rien. Alors dernière solution : partir en courant vers la maison terrifié de ce qui venait de se passer. Papa était rentré du travail depuis vingt minutes. Il s’est donc précipiter et à retrouver maman. Elle semblait endormie. Juste, en plus blanche. Après ce jour, papa n’a plus jamais été le même. Il était plus froid et moins gentil avec nous. Du moins, c’était mon impression. C’est d’ailleurs ce jour que j’ai commencé à redouter l’eau. Elle avait tué ma mère ! Quand mon frère est venu me voir un peu plus tard car nous étions bouleverser il s’est prit un cousin sur le nez. C’était une petite explosion de colère contre le liquide transparent qui avait apporté cette première manifestation magique. Ce n’est pas revenus avant quelques années croyez-moi.


Deux : Un nouvel allié bien choisi.

Deux ans sont passés depuis la mort de maman. C’est toujours un sujet sensible, mais moins douloureux que le premier jour. Je me dispute souvent avec mon père et continue de me chamailler avec mon frère. Ma petite sœur a grandit et elle ne veut pas prendre de partie. Avant elle me choisissait tout le temps, mais plus maintenant. Pour vous dire, les journées étaient presque des routines lentes et insupportable. Le matin papa partait au travail et nous, nous restions avec une personne qui nous surveillait et qui nous faisait l’école à la maison. J’ai d’ailleurs appris les règles du Quidditch cette même année grâce à elle. C’est un sport que j’ai toujours aimé. Enfin, cette année-là j’ai découvert le feu. Non pas comme les hommes des cavernes, mais un peu comme un ami. Dans lui je revoyais tout les bons cotés de maman : la chaleur, la lumière, la bonté. Je l’ai adopté si je peux dire. Il en fait de même avec moi. Il acceptait d’être avec moi si je le laissai brûler ce qu’il voulait. Pas de problème. Parfois que je lui parlais. Vous auriez du voir le visage de mon père changer : « Non, mais elle parle au feu! Et puis quoi encore? ». Je vous l’accorde, il me prenait pour une folle. Mon frère me comprenait lui.

Trois : Poudlard me voici!

Donc pour continuer sur ma superbe lancé, les journées se ressemblaient toutes et commençaient à être bien ennuyante. C’est pour ça que j’évite de raconter, ça ne servirait à rien, sauf vous endormir. Étant une sorcière anglaise et habitant à Londres, j’ai oublié de mentionner, le jour de mes onze ans, c’est-à-dire le 15 janvier, je reçus ma lettre pour Poudlard. Tout comme mon frère. Ça été un jour des plus agréables car pour célébrer, Mathilda (la femme qui veillait sur nous les enfants) nous avait amené sur le chemin de traverse et avec l’accord de notre père, nous avait acheté à chacun un hibou et un chat. Suite à ça, on est reparti vers la maison et avons mangé un énorme gâteau spécialement fait pour l’occasion. Mon père, ce même jour, avait dut rentrer plus tard car il a eu un problème. Il ne nous avait même pas souhaité un joyeux anniversaire et ne l’a pas mentionné du tout. Au moi d’août, nous sommes aller acheter ce dont nous avions besoin pour l’école et donc notre baguette magique!

Quatre : Les trois années à Poudlard! En bonus : Ma pire gaffe

Nous avons donc prit le train rouge et noir menant à Poudlard. Nous avions rencontré des gens forts sympathiques et avons sympathisé. Le trajet m’avait parût une éternité. C’est sur la petite chaloupe que j’ai réalisé à quel point ça valait la peine d’avoir attendus aussi longtemps. J’étais bouche-bée, émerveillée, appeler ça comme vous voudrez, mais j’étais pratiquement incapable de dire quoique ce soit. C’est encore pire quand je suis entrée dans la Grande Salle. Les bougies flottantes, le ciel étoilé, tout ça c’était tout simplement trop merveilleux. En plus, je sentais la présence de ma mère. Non pas fantôme, mais par l’intérimaire de toutes les flammes présentent dans la pièce. Quand mon nom à été nommé pour passer à la répartition j’ai cru faire une crise cardiaque. Surtout le temps d’attende pour le verdict. Quand il fût tombé, je rejoignis la table et tout de suite après mon frère. Je ne pouvais pas être plus heureuse. Ma première année à Poudlard s’est déroulée sans incident majeur. Lors de ma deuxième également… Sauf peut-être un basilic. Ensuite la troisième année c’est étrangement bien déroulé. Pour ce qui est de ma pire gaffe, ça s’est déroulée cet été. J’étais en plein conflit contre mon père qui m’interdisait de faire quelque chose. Sachez aussi qu’il ne m’a presque jamais rien interdit et donc je suis habituée d’avoir ce que je demande. Alors dans un élan de colère extrême contre lui, je lui ai tout balancé à la figure. Le « Si maman aurait été là, elle ne me l’aurait jamais interdit! » accompagné de l’habituel « J’te déteste! » et pour finir : « Tu n’es pas mon père! Je n’en ai même jamais eu! » . Suite à ça, mon père s’est refrogné et m’a laissé faire. Finalement je me suis sentie tellement mal que je me suis contenté de partir à l’extérieur pour aller prendre de l’air. Je crois qu’il ne me l’a pas pardonnée celle-là car je n’ai pas eu le droit à ma carte d’anniversaire cette année.

Cinq :Une quatrième année et aujourd’hui

Donc pour compléter mon début d’enfance, je suis rentrée cette année pour une quatrième fois à Poudlard. En bonus, c’est le tournoi des trois sorciers. J’adore encourager même s’ils ne sont pas de mon école. J’ai aussi fait de belles rencontres du coté des filles de Beauxbâtons. Elles sont bien gentilles. J’ai assisté à la première tâche, celle avec les dragons. Ces créatures sont magnifiques et peut-être trop agressive pour moi, mais tout de même. Selon mon frère je leur ressemble un peu. Vraiment, celui-là je ne sais pas quoi en faire, mais je ne sais pas ce que je ferais sans lui non plus. La deuxième tâche par contre c’était sous l’eau. Je suis restée au milieu des tours à attendre que ça se finisse. Une heure au dessus de l’eau! Brrr… j’ai cru mourir.